Semaine de la langue française et de la francophonie, du 16 au 24 mars.
Publié le 18 mars 2024
|Modifié le 18 mars 2024
La rédaction de culture.gouv.fr, le site internet du ministère de la culture vous invite à participer à la 29ème édition de la Semaine de la langue française et de la Francophonie qui se tiendra à quelques semaines des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, du 16 au 24 mars.
Cette année la Semaine de la langue française et de la Francophonie célèbre le français et le sport avec pour thème « Sur le podium » !
Une fois encore, autour du 20 mars, la Semaine de la langue française et de la Francophonie donne rendez-vous à tous les amoureux des mots en France comme à l’étranger avec la célébration de la Journée internationale de la Francophonie, une occasion à ne pas manquer pour partager, découvrir et s’approprier les mots du sport et le vocabulaire de l’olympisme...
Et ce n'est pas tout, l'opération « Dis-moi dix mots » s'est penchée, elle aussi, sur les mots du sport sélectionnés avec les partenaires francophones du ministère, et inviter le plus grand nombre à proposer des créations artistiques et littéraires autour des mots suivants :
« Le sport n’est pas uniquement bon pour la santé. Il permet d’inculquer des valeurs de respect (jouer collectif, s’encorder) et de dépassement de soi (faire monter l’adrénaline, partir en échappée, réaliser des prouesses, devenir champion). Le sport, c’est aussi la détermination (le mental), c’est aussi l’acceptation des règles (le faux départ, le hors-jeu) et le besoin de faire une pause (aller aux oranges). »
Saviez-vous que c'est également l'occasion de célébrer les 30 ans de la loi Toubon ?
Cette loi dite « loi Toubon » relative à l’emploi de la langue française, a permis de faire du français la langue de l’enseignement, du travail, des échanges et des services publics, une garantie essentielle d’égalité et d’accès au savoir, à l’information, à la culture et aux loisirs ainsi que dans la relation aux institutions.
Pour mémoire, M.Jacques Toubon, ancien ministre de la Culture et de la Francophonie avait déclaré : « Il est intéressant de se demander où en serait l’usage du français si cette loi n’existait pas, en comparant les pays qui ont un cadre législatif comme la France et ceux qui n’en ont pas comme la Suisse ou la Belgique. L’écart est énorme. Cela reflète une singularité française : la langue fait partie du débat public et à ce titre, elle fait l’objet d’une politique publique ».